
Les autres docu-fiction.
1940:des oubliés de l'histoire.
Ce régiment, composé de 3500 hommes, fut constitué à Lyon en 1939. Après un cantonnement dans la région de Saint-du-Nord, il entre en combat dès le 10 mai 1940, lors de l’invasion allemande.
Le point culminant de leur bravoure survient dans les faubourgs sud de Lille.
Là, ces soldats affrontèrent les troupes mécanisées du général Guderian, célèbre pour sa stratégie de guerre-éclair.
Malgré l’infériorité numérique et matérielle, le 14e Régiment de Zouaves livra une résistance acharnée, retardant l’avancée allemande.
Leur sacrifice permit l’évacuation des troupes alliées lors de l’opération Dynamo, sauvée in extremis de Dunkerque.
Mais cet acte de bravoure eut un coût terrible : le 1er juin 1940, seuls 350 hommes restaient debout, épuisés mais invaincus.
Le film relate avec une émotion poignante l’un des moments les plus exceptionnels de ce conflit : les honneurs de la guerre.
Ce fut en effet devant les troupes allemandes, alignées au garde-à-vous et en armes, que les survivants du 14e Régiment de Zouaves défilèrent avec dignité et fierté, accompagnés du 24e Régiment de Tirailleurs Tunisiens.
Ce geste rarissime, rendu par l’ennemi lui-même, témoignait de l’admiration pour ces hommes courageux.
Malgré leur exploit, ce fait unique reste largement absent des manuels d’histoire.
1940 : Des Oubliés d’Histoire a pour ambition de rendre justice à ces héros silencieux et de transmettre leur mémoire.
Plus qu’un film de guerre, c’est un hommage à ceux qui, par leur sacrifice, ont permis à d’autres de survivre, et à la France de continuer son combat.

1940:des oubliés de l'histoire, la captivité
1940 : Des Oubliés d’Histoire – Chapitre II : La Captivité et la Libération
Le deuxième volet de
1940 : Des Oubliés d’Histoire plonge le spectateur dans une autre facette méconnue de la guerre : la captivité des officiers français au camp IVD de Hoyerswerda, en Silésie, un lieu chargé d’histoire aujourd’hui situé en Pologne.
Après les combats héroïques relatés dans le premier film, nous retrouvons ces hommes, brisés mais dignes, désormais prisonniers de guerre dans un Oflag (camp réservé aux officiers).
Pendant cinq longues années, loin de leurs familles et de leur patrie, ces soldats ont trouvé dans la camaraderie, la culture et la créativité les moyens de résister à l’ennui et au désespoir.
Le film dévoile leur quotidien dans ce camp : les repas improvisés dans les popotes, les activités culturelles comme le théâtre, les concerts et les débats, et les liens indéfectibles qui se sont tissés entre eux.
Mais cette captivité ne fut pas sans drames. À quelques kilomètres, le rugissement des bombes sur Dresde résonnait, marquant les derniers actes de barbarie de la guerre.
Certains prisonniers, dont le père du réalisateur, furent contraints de suivre les troupes allemandes en retraite, utilisés comme boucliers humains contre l’avancée des armées russe et américaine.
Le film capte aussi l’intensité des derniers jours de la guerre : la libération du camp par les troupes soviétiques, l’historique jonction des armées alliées à Torgau, et enfin, le long chemin du retour.
Une marche harassante, symbolique de la transition entre cinq années d’enfermement et une liberté enfin retrouvée.
Ce volet, profondément personnel, raconte également la réconciliation du père du réalisateur avec sa femme après des années de séparation, mais aussi l’incroyable fraternité qui a uni ces hommes, notamment ses deux amis, rencontrés dans le premier film.
Avec ce second diptyque, 1940 : Des Oubliés d’Histoire offre un témoignage unique sur une guerre vécue derrière les barbelés.
C’est une œuvre à la fois intime et universelle, un hommage vibrant à la résilience et à l’humanité de ces hommes face à l’adversité.
Le deuxième volet de
1940 : Des Oubliés d’Histoire plonge le spectateur dans une autre facette méconnue de la guerre : la captivité des officiers français au camp IVD de Hoyerswerda, en Silésie, un lieu chargé d’histoire aujourd’hui situé en Pologne.
Après les combats héroïques relatés dans le premier film, nous retrouvons ces hommes, brisés mais dignes, désormais prisonniers de guerre dans un Oflag (camp réservé aux officiers).
Pendant cinq longues années, loin de leurs familles et de leur patrie, ces soldats ont trouvé dans la camaraderie, la culture et la créativité les moyens de résister à l’ennui et au désespoir.
Le film dévoile leur quotidien dans ce camp : les repas improvisés dans les popotes, les activités culturelles comme le théâtre, les concerts et les débats, et les liens indéfectibles qui se sont tissés entre eux.
Mais cette captivité ne fut pas sans drames. À quelques kilomètres, le rugissement des bombes sur Dresde résonnait, marquant les derniers actes de barbarie de la guerre.
Certains prisonniers, dont le père du réalisateur, furent contraints de suivre les troupes allemandes en retraite, utilisés comme boucliers humains contre l’avancée des armées russe et américaine.
Le film capte aussi l’intensité des derniers jours de la guerre : la libération du camp par les troupes soviétiques, l’historique jonction des armées alliées à Torgau, et enfin, le long chemin du retour.
Une marche harassante, symbolique de la transition entre cinq années d’enfermement et une liberté enfin retrouvée.
Ce volet, profondément personnel, raconte également la réconciliation du père du réalisateur avec sa femme après des années de séparation, mais aussi l’incroyable fraternité qui a uni ces hommes, notamment ses deux amis, rencontrés dans le premier film.
Avec ce second diptyque, 1940 : Des Oubliés d’Histoire offre un témoignage unique sur une guerre vécue derrière les barbelés.
C’est une œuvre à la fois intime et universelle, un hommage vibrant à la résilience et à l’humanité de ces hommes face à l’adversité.
D'Orbe en ThieleMaking off. En dessous le film.
D'Orbe en Thiele est un docu-fiction captivant et poétique qui suit le cours de l’Orbe, une rivière dont le trajet traverse des paysages époustouflants et des lieux chargés d’histoire, tout en explorant les méandres émotionnels de son héroïne, une jeune femme en quête de sens.
La rivière, prenant sa source en France, s’engage dans un voyage spectaculaire et symbolique. Après avoir alimenté le lac des Rousses, elle s’étire à travers des méandres sauvages pour rejoindre le lac de Joux en Suisse. Un canal la guide ensuite vers le lac Brenet, où elle disparaît dans les entrailles de la montagne. Ces mystérieuses grottes ocellé ressort, découvertes par un plongeur spéléologue dont le témoignage posthume enrichit le film, sont filmées avec une esthétique envoûtante, symbolisant la profondeur de l’inconnu et de la renaissance.
Au-delà des grottes, l’Orbe refait surface pour traverser des villages et villes comme Vallorbe et Orbe, où elle a alimenté autrefois des ateliers de ferronnerie, témoins d’un riche patrimoine industriel.
La rivière, prenant sa source en France, s’engage dans un voyage spectaculaire et symbolique. Après avoir alimenté le lac des Rousses, elle s’étire à travers des méandres sauvages pour rejoindre le lac de Joux en Suisse. Un canal la guide ensuite vers le lac Brenet, où elle disparaît dans les entrailles de la montagne. Ces mystérieuses grottes ocellé ressort, découvertes par un plongeur spéléologue dont le témoignage posthume enrichit le film, sont filmées avec une esthétique envoûtante, symbolisant la profondeur de l’inconnu et de la renaissance.
Au-delà des grottes, l’Orbe refait surface pour traverser des villages et villes comme Vallorbe et Orbe, où elle a alimenté autrefois des ateliers de ferronnerie, témoins d’un riche patrimoine industriel.
Puis, dans la vallée de l’Orbe, elle se lie à la rivière Talent, changeant de nom et de destin, comme un parallèle à l’évolution personnelle de l’héroïne. De là, elle poursuit sa course, nourrissant les lacs de Neuchâtel et de Bienne, avant de rejoindre l’Aar, emblématique rivière suisse.
Parallèlement à ce voyage aquatique, le film suit une jeune femme tourmentée, incarnée avec sensibilité par une actrice dont la quête intérieure résonne avec celle de l’Orbe.
Parallèlement à ce voyage aquatique, le film suit une jeune femme tourmentée, incarnée avec sensibilité par une actrice dont la quête intérieure résonne avec celle de l’Orbe.
Dévastée par un chagrin, elle décide de marcher le long de la rivière, cherchant à renouer avec la nature et à se retrouver. Au fil des paysages et des rencontres, elle découvre non seulement la beauté de la rivière, mais aussi l’amour, dans une rencontre inattendue qui transforme son parcours en un véritable voyage initiatique.
D'Orbe en Thiele est une ode à la nature, au patrimoine, et à la résilience humaine. La symbiose entre la rivière et la protagoniste offre un récit à la fois contemplatif et poignant, mêlant images sublimes, récits historiques, et une histoire d’amour touchante, portée par la force et la fluidité de l’eau.
D'Orbe en Thiele est une ode à la nature, au patrimoine, et à la résilience humaine. La symbiose entre la rivière et la protagoniste offre un récit à la fois contemplatif et poignant, mêlant images sublimes, récits historiques, et une histoire d’amour touchante, portée par la force et la fluidité de l’eau.

La source de la Loire,mythe et réalité.
La Loire.
Une Histoire de Mythe et de Symbolisme
Le choix du mont Gerbier-des-Joncs comme point de départ de la Loire remonte à une époque où la précision scientifique n’était pas la priorité.
Les Implications Environnementales
Cette confusion a également des implications sur la gestion de l’eau et la préservation des écosystèmes. Reconnaître la source réelle de la Loire permettrait une meilleure compréhension des enjeux liés à la conservation des zones humides de cette région. Ces terres, essentielles pour la biodiversité, méritent une attention particulière face aux changements climatiques et aux pressions anthropiques.
Selon les experts, la véritable source du fleuve se situe légèrement en amont du mont Gerbier-des-Joncs, sur le plateau ardéchois. Elle provient de plusieurs résurgences et petits ruisseaux, notamment ceux de la ferme de Bonnefond, qui alimentent le ruisseau de l’Aigue Nègre.
Une Origine Plurielle
Contrairement à l’image romantique d’un unique point de jaillissement, la naissance de la Loire est le résultat d’un réseau complexe de cours d’eau souterrains et de sources multiples.
Contrairement à l’image romantique d’un unique point de jaillissement, la naissance de la Loire est le résultat d’un réseau complexe de cours d’eau souterrains et de sources multiples.
Ces ruisseaux se rejoignent progressivement pour former le fleuve qui traverse la France sur plus de 1 000 kilomètres.
La localisation officielle sous le mont Gerbier-des-Joncs, bien que symbolique, n’est donc qu’une approximation choisie pour sa visibilité et son attrait touristique.
Une Histoire de Mythe et de Symbolisme
Le choix du mont Gerbier-des-Joncs comme point de départ de la Loire remonte à une époque où la précision scientifique n’était pas la priorité.
Ce volcan phonolitique, avec sa silhouette imposante, a su capter l’imagination collective. Son statut a été renforcé par des décisions politiques et culturelles qui l’ont inscrit dans les livres scolaires comme la source officielle.
Les Implications Environnementales
Cette confusion a également des implications sur la gestion de l’eau et la préservation des écosystèmes. Reconnaître la source réelle de la Loire permettrait une meilleure compréhension des enjeux liés à la conservation des zones humides de cette région. Ces terres, essentielles pour la biodiversité, méritent une attention particulière face aux changements climatiques et aux pressions anthropiques.
Entre Vérité et Patrimoine
Pour les scientifiques et les amateurs de précision, cette remise en question est un appel à reconsidérer les bases hydrologiques. Mais pour les locaux et les touristes, le mont Gerbier-des-Joncs reste un symbole inébranlable de la Loire, ancré dans la mémoire collective.
Pour les scientifiques et les amateurs de précision, cette remise en question est un appel à reconsidérer les bases hydrologiques. Mais pour les locaux et les touristes, le mont Gerbier-des-Joncs reste un symbole inébranlable de la Loire, ancré dans la mémoire collective.
Ainsi, la Loire, dans toute sa majesté, continue de fasciner. Son origine reste une rencontre entre mythe, réalité scientifique, et héritage culturel, illustrant une fois de plus la complexité de notre rapport à la nature.
